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Radio et télévision >
Chroniques de Martin Winckler sur Arte Radio
Martin winckler à fait plusieurs séries de chroniques à écouter sur Arte Radio :
– J’ai mal là. 18 chroniques de Novembre 2004 à Juin 2005. Publié aux éditions du Petit Matin,
puis :
– Conte à rêver debout. 18 chroniques d’Octobre 2005 à juin 2006,
– Ecrits sur le vent 18 chroniques de septembre 2006 à Avril 2007.
Ces deux dernières séries ont été reprises et développées en volume dans Histoires en l’air, aux éditions P.O.L (2008)
J’avais très très très envie de lui...
Texte de la chronique d’ArteRadio.com - 27 avril 2005
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J’ai quatre amants
Texte de la chronique d’ArteRadio.com - 13 avril 2005
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Les enfants qui cherchent à soigner leurs parents...
Texte de la chronique d’ArteRadio.com - 16 mars 2005
Ecoutez la chronique sur ArteRadio.com
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Comment annoncer une mauvaise nouvelle...
Texte de la chronique d’ArteRadio. com - 1er mars 2005
Tout à l’heure il faut que je fasse un cours à des étudiants en médecine qui s’appelle "l’annonce d’une mauvaise nouvelle". Et je voudrais partager avec vous les choses que je vais leur dire et auxquelles il va falloir que je les fasse réagir.
– Ecoutez la chronique sur ArteRadio.com
– Lire les réactions de lecteurs et auditeurs à cette chronique
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Les Médecins et le Crime
texte de la chronique d’ArteRadio.com - 17 février 2005
Ecoutez la chronique sur ArteRadio.com
Vous connaissez la différence entre Dieu et un médecin, je vous l’ai déjà racontée : Dieu ne se prend pas pour un médecin. Mais est-ce que vous savez quelles sont les relations entre les médecins et le crime ?
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Pour Hippocrate, un médecin décide à la place des gens...
Texte de la chronique d’ArteRadio.com - 3 février 2005
Ecoutez la chronique sur ArteRadio.com
Le serment d’Hippocrate...
On dit toujours que c’est quelque chose de central dans l’exercice de la médecine, que tous les étudiants en médecine prêtent serment, et prêtent le serment d’Hippocrate avant de devenir médecins.
Alors c’est vrai, c’est d’ailleurs un truc extrêmement ancien, bien entendu, puisque justement Hippocrate, c’est quand même la Grèce antique, mais en général on ne sait pas quel est le contenu du serment. Donc je vais vous le lire, et puis on va en parler un peu.
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C’est dur, d’être médecin.
texte de la chronique d’ArteRadio.com - 19 janvier 2005
D’abord c’est long. Faut passer un concours qui est extrêmement enquiquinant, on se bat avec les autres, enfin c’est abominable... Et puis ensuite même quand on a eu le concours, on a la perspective d’être en fac, donc de passer des examens, d’apprendre des choses pendant sept, huit, dix ans... parce qu’on dit sept ans, mais en fait non, c’est pas sept ans, c’est plus que ça : huit - dix ans, pour faire un médecin en France, qui soit à peu près diplômé et opérationnel.
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Le droit de coucher dans la rue
Texte de la chronique d’ArteRadio.com - 25 décembre 2004
Il y a quelques années maintenant, je faisais une chronique tous les jours à France Inter. Donc de temps en temps j’allais à Radio France. J’allais pas souvent à Radio France parce que je faisais ça souvent chez moi. Et un jour, en sortant de Radio France, je vois, sur le trottoir, devant Radio France... vous savez devant Radio France il y a des pelouses... et puis en contrebas, sur le trottoir, il y avait un homme allongé. Il était allongé par terre. Et les gens passaient autour de ce type qui était allongé par terre sans le regarder. Moi, je peux pas voir un type allongé par terre dans la rue sans m’arrêter.
Ecouter la chronique sur Arteradio.com
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La meilleure manière de soigner...
ArteRadio.com - 30 novembre 2004
J’aime bien les Anglais. Quand j’étais gamin, mon père voulait qu’on parle anglais couramment, mon frère et moi, alors il nous envoyait tous les étés, - j’ai commencé, j’étais en sixième, peut-être, à aller en Angleterre, un mois par an, l’été bien sûr -, à Londres, avec une association qui en principe s’occupait de nous mais qui nous laissait nous balader beaucoup, donc on était... Quand je pense que j’ai fait les quatre cent coups à l’âge de douze ans dans le métro londonien avec mon frère, ou même tout seul, et que mon père le savait pas, il se serait étouffé s’il l’avait appris, le pauvre, il avait tellement peur pour nous, enfin, on n’est pas morts, hein.
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Françoise Dolto
Texte de la chronique d’ArteRadio.com - 24 novembre 2004
Le plus souvent, quand on parle des choses qui nous font mal, on essaie de trouver des gens qui vont nous faire du bien. Ou qui en tout cas vont essayer de faire en sorte qu’on ait moins mal, après, qu’avant qu’on les ait rencontrés. Et je me souviens... j’ai eu beaucoup de chance, j’ai rencontré quelqu’un qui faisait du bien. Qui faisait du bien en parlant. Et c’était une dame, qui s’appelait Françoise Dolto.
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